Avec le cheval nous ne pouvons plus tricher… d’où son immense plus-value ! Je dis souvent à mes clients : « si vous ne souhaitez pas réellement changer, ne venez pas faire de l’équicoaching ! Vous prendriez le risque d’y parvenir ».
En effet, les exercices proposés lors des séminaires nécessitent entre 0 et 20% au maximum de techniques équestres. Les 100 à 80% restant représentent le mental de la personne. Devant un cheval, impossible de le camoufler, tout est donné à voir. C’est peut-être ce qui fait peur dans l’équicoaching. Mon professionnalisme est de vous le faire vivre en sécurité et dans la plus grande bienveillance. Je constate souvent que les personnes sont bien plus porteuses de pépites qu’elles ne veulent bien se l’avouer.
Lors des séminaires, vos salariés ne seront plus uniquement dans la théorie, la technique managériale, « la tête bien-pensante ». Ils seront en plus dans les tripes, le ressenti, les émotions authentiques. Les deux sont nécessaires pour apprendre à changer. Pour moi, le changement ne se décrète pas, il s’accompagne. Un manager m’a dit une fois : « finalement, l’équicoaching, c’est un TP géant ! C’est la première fois que j’ai eu le sentiment véritable de PRATIQUER grandeur nature durant une formation ! J’ai enfin retroussé les manches et ‘j’ai immédiatement mis en place dans le concret’ au lieu de ‘penser comment je pourrai mettre en place à l’avenir’ ! Le cheval offre cette part d’inconnue que l’on ne retrouve pas dans la théorie car il est vivant ».
Et aussi partir de constats :
Une étude a montré que la démotivation est une « maladie contagieuse » pour l’entreprise.
Pour 70 % des salariés interrogés, la volonté d’avancer en son sein est une affaire collective. Ces mêmes personnes connaissent à 98% que cette volonté est un facteur essentiel de réussite.
L’étude a hiérarchisé les facteurs de démotivation des salariés en entreprise :
Le facteur numéro 1 est la rémunération pour 72%,
Le facteur numéro 2 est la qualité du management pour 62%,
Le facteur numéro 3 est le manque d’innovation pour 60%
Suivi par les problèmes d’ambiance, de reconnaissance au travail, d’indépendance et de responsabilisation.
L’équicoaching est un antidote à cette démotivation car il est très innovant et les personnes apprennent énormément sur ce qu’est un management de qualité.
Une autre étude européene a fait ressortir : 70% des cadres supérieurs interviewés avouent qu’ils ont été contre-performants en raison de faiblesses liées à leur manière de manager,
60% confessent avoir quitté leur entreprise pour les mêmes raisons.
Quelle problématique importante pour l’entreprise d’aujourd’hui d’être capable de retenir ses collaborateurs ! Surtout lorsque l’on sait que la fidélité est la troisième attente des collaborateurs envers leur hiérarchique après l’honnêteté et l’ouverture.
Enfin, les recherches de Goleman démontrent que les facteurs de réussites professionnelles sont la confiance, l’adaptation, la faculté de coopération, l’empathie, les relations interpersonnelles et l’optimisme. Autant de compétences que Goleman intègre dans ce qu’il nomme « l’intelligence émotionnelle », particulièrement nécessaire à l’entreprise contemporaine et que l’on travaille de fait avec un cheval.
Etre MANAGER aujourd’hui requiert le sens de la décision, de l’équipe, de l’anticipation et de la délégation quasiment au même niveau. Autres qualités requises : l’écoute, le charisme, la capacité à travailler avec ses équipes, la vision, la capacité d’ouverture. Comme dit Carlos GHOSN, PDG de Renault : « Le manager trop mou et le manager trop dur sont deux catastrophes pour l’entreprise. »
Décider seul, affirmer de manière unilatérale, imposer, manipuler sont à ranger au grenier des horreurs de l’entreprise.
Avec un cheval, le manager peut s’observer sur sa manière d’être en lien avec l’autre. Comment se fait-il comprendre, comment gère-t-il ses émotions et celles de l’autre, à quel moment met-il de la pression ou pas ? Donne-t-il envie ? Quel style managérial privilégie-t-il ? En regardant une personne travailler avec un cheval, l’équicoach a accès à ces informations. La séquence avec le cheval est, en effet, HOLOMORPHIQUE : c’est-à-dire la partie et dans le tout et le tout est dans la partie.